2015.07.27 Catamaran from Nephilim on Vimeo.
Premier essai d'un petit catamaran autodirigé. Une girouette à l'arrière du bateau actionne les deux safrans. Essai avec peu de vent, pas toujours suffisant pour vaincre les frottements du mécanisme, mais il semble plutôt équilibré.
Le dernier projet en cours: un bateau promis il y a longtemps pour mon neveu: propulsé par une hélice aérienne et un moteur développant entre 200 et 600W.
Il ne devrait pas avoir de peine à déjauger.
Le carénage est là surtout pour protéger l’hélice et éviter les accidents
A suivre…
Un nouvel essai… peu concluant pour l’instant. A cause de la trop faible poussée de la turbine…
Je vais reprendre ça avec une hélice classique et réessayer la turbine sur un modèle déjà expérimenté.
Une proposition de circuit autour de 5 bouées au Lac de Brêt. Pour des petit bateau électriques télécommandés (Sea Drifter par exemple).
On peut pas vraiment dire que ça n’avance pas…
Le nouveau projet pour mon petit neveu… enfin ça faut encore voir…
Un rigger avec une propulsion par turbine pour le son et les doigts. La petite originalité réside dans la manière de le diriger: le corps est articulé en son milieu. Le but étant aussi de pouvoir naviguer sur une surface d’eau avec des feuilles et des algues. Donc pas d’appendices accrocheurs qui trainent trop sous l’eau.
Après quelques temps passés à regarder ce qui se fait, voici un projet de “OutRigger” pas particulièrement original, mais destiné à se faire la main avec ce genre de bateau.
Construction économique : contreplaqué de récup, bras en profilé alu carré, moteur SPEED 480, gouvernail maison, accu LiPO 3s 2200 mAh, transmission rigide. Dans les 30 [cm] de large et 55 de long.
Poids estimé:
Ça nous fait dans les 850 g. On est pas loin de l’enclume, mais d’après une estimation du volume de l’objet (1 litre environ), je sais déjà qu’il va flotter avec une marge de l’ordre de 15%.
Si ça coince, je peux toujours voir pour le recycler en sous-marin avec plongée dynamique ou en missile air-sol.
Au niveau motorisation (SPEED 480), le max de rendement est vers les 8.5 [A], donc je dirais à l’œil qu’on peut consommer dans les 15 ampères sans tout griller. Sous un peu moins de 11 [V], ça fait entre 100 et 150 [W] disponibles. C’est pas la mort, mais avec des ailes ça pourrait voler, donc sans ça doit aussi pouvoir naviguer…
Finalement ça avance quand-même pas mal cette conversion de bateau pirate Playmobil en bateau RC. En fin de compte, j’ai mis une transmission rigide, une hélice de 40 mm, un ensemble moteur-réducteur (dans les 50 W pour effrayer personne) qui trainait dans mes affaires depuis des années, watercoolé avec un serpentin en tube d’aluminium fait maison (préalablement rempli avec du sel de cuisine pour éviter qu’il ne s’écrase trop puis enroulé en force sur un cylindre de diamètre légèrement inférieur).
Je pense modifier la carène pour imiter celle des bateaux de l’âge d’or de la marine à voile, augmenter le volume immergé pour compenser l’ajout de poids, ajouter une quille pour le rendre plus stable. Déjà un premier bloc de polystyrène extrudé à mettre en forme…
Là, on voit la prise d’eau de refroidissement du moteur.
Un premier essai dans l’évier permet de constater que l’objet est peu discret (bruit de crécelle) mais que le système de refroidissement liquide semble fonctionner.
A suivre…
Voilà quelques jalons de posés en vue de la motorisation d’un bateau pirate Playmobil pour mon petit neveu! Prévu pour bien avancer, même en cas de pétole.
Conception personnelle d’une transmission souple..
…avec arbre sur roulements à billes.
Ça va chauffer!
Ceux qui disent qu’à Lausanne, le dimanche soir il ne se passe rien, se trompent. Par exemple, ce soir à la Place de la Navigation vers 22h00 sous la pluie il y avait un essai d’un petit bateau expérimental.
Comme ça, il est pas très joli mais c’est un proto: le but étant de construire un petit bateau simple et sympa, qui soit maniable et rapide et qui ne se croche pas dans les algues du Lac de Brêt. D’où une espèce de catamaran avec hélice aérienne orientable (voir vidéo ci-dessous).
Les essais sont moyennement concluants: au niveau puissance, il y a pas trop de souci, par contre la stabilité en lacet fait sérieusement défaut! A basse vitesse, tout va bien, il est même très maniable. Par contre quand on augmente la puissance, il y a toujours un patin qui déjauge avant l’autre et là c’est le tête à queue à tous les coups. Même qu’en insistant, il a fini par se retourner. Du coup, j’ai du me mouiller les pieds pour le rechercher.
Je pense améliorer la stabilité en lacet en ajoutant un appendice à l’arrière.
Je suppose aussi qu’il doit être possible de rendre le déjaugeage plus progressif en inclinant vers l’intérieur les surfaces inférieures des patins, comme sur les vrai offshore.
A suivre…
